Voici les 6 médicaments les plus dangereux au monde

Publié le 16 avril 2018
MAJ le 26 novembre 2024

Les médicaments ne sont pas sans effets secondaires sur la santé. Mêmes s’ils sont censés traiter une pathologie, ils causent parfois d’autres dysfonctionnements, malheureusement plus graves. Alors, découvrez dans cet article les effets secondaires dangereux des médicaments et vaccins qui sont souvent obligatoires pour soigner et prévenir certaines maladies.

Selon le professeur Henri Joyeux, le corps arrive parfaitement à se défendre sans aide extérieure et l’ajout d‘éléments externes peut parfois l’endommager au lieu de lui faire du bien. C’est le cas par exemple de certains vaccins qui sont obligatoires pour les enfants alors qu’ils ont des effets nocifs sur leur santé tels que : 

Vaccin contre la rubéole, les oreillons et la rougeole (ROR) : Ce vaccin peut causer de graves troubles du système neurologique, en particulier chez les enfants. Le Centre National d’Information sur les Vaccins de Belgique a d’ailleurs recensé plusieurs effets secondaires notoires dont le lupus (trouble auto-immun du tissu conjonctif), la méningite aseptique (inflammation de la muqueuse du cerveau), des convulsions ou encore la cardiomyopathie (affaiblissement du muscle cardiaque). 

Vaccin contre la varicelle : Le vaccin contre la varicelle peut entraîner des effets graves, surtout en cas d’allergies. Selon le rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les complications graves qui ont été relevées concernant les vaccins contre la varicelle sont la pneumonie, l’hépatite, la méningite et les éruptions cutanées sévères. 

En outre, certains médicaments affectent énormément la santé comme :

Antibiotiques : Selon les chercheurs français dont l’étude est sortie dans la revue Science de Novembre 2017, la prise d’antibiotique déséquilibre la flore intestinale et cela peut impacter la survie des personnes sous immunothérapies (traitement destiné à augmenter ou à provoquer l’immunité de l’organisme par l’injection d’anticorps). D’une part, les antibiotiques modifient l’équilibre de la flore digestive, provoquant des ballonnements, des maux de ventre ou des nausées et d’autre part, ils déséquilibrent la flore vaginale. En outre, les antibiotiques, comme ils détruisent les bonnes bactéries dans le corps, affaiblissent le système immunitaire.

Antidépresseurs : Influençant la sérotonine (hormone du bonheur), les antidépresseurs sont prescrits en cas d’épisode dépressif. Cependant, ils ne réduisent pas les risques de récidives et sont à l’origine d’effets secondaires dont la baisse de tension, la baisse de libido ou encore des troubles digestifs. En outre, certains scientifiques ont découvert qu’une seule dose d’antidépresseur est suffisante pour changer l’architecture du cerveau, vu que ces médicaments ont une action directe sur le système nerveux. Par ailleurs, selon une étude canadienne réalisée sur 300 000 personnes, la prise de certains antidépresseurs peut même entrainer des hémorragies cérébrales et une baisse de la tension artérielle chez les personnes âgées. 

Vaccin antigrippal : Même s’il est très utile pour les personnes âgées et ceux qui souffrent déjà d’une grippe, certains vaccins antigrippaux contiennent des quantités élevées de mercure, un agent conservateur. Le mercure peut avoir des effets toxiques sur le système nerveux, le système digestif, sur les poumons, sur les reins, la peau et les yeux. Selon les chercheurs, administrer ce type de vaccin n’est pas toujours utile car certaines personnes développent une immunité naturelle et n’ont pas besoin d’aide extérieure pour lutter contre la grippe. De plus, parce que la fabrication du vaccin est lancée quelques mois avant l’épidémie le vaccin n’est pas toujours adapté aux virus responsables de cette dernière. En outre, selon l’étude parue dans le British Medical Journal, le vaccin contre la grippe H1N1 a causé plusieurs cas de narcolepsie (une maladie du sommeil incontrôlable). 

Vaccins contre le HPV (papillomavirus) : 

Les papillomavirus humains appartiennent à une famille de virus qui attaque le col de l’utérus et se développe progressivement, à partir de lésions dites précancéreuses. Le Gardasil est le vaccin préventif de ce type de cancer. Cependant, la TGA (Administration Thérapeutique Australienne) a soulevé le fait que les effets secondaires du produit n’ont pas été testés auparavant. Selon le rapport de la journaliste d’investigation Heidi Stevenson, le vaccin Gardasil est constitué de deux ingrédients additifs qui peuvent endommager le système reproducteur des femmes. Ces deux ingrédients sont la L-histidine et le polysorbate 80.  De plus, le professeur Henri Joyeux de son côté n’encourage pas la prise de ce vaccin.

Selon lui, le frottis est le moyen le plus sûr de prévenir le cancer du col de l’utérus car il permet de détecter des lésions risquant d’évoluer vers le cancer.