Une survivante du cancer explique comment cette huile lui a « sauvé la vie » après avoir été atteinte d’un cancer incurable !

Publié le 14 décembre 2017
MAJ le 26 novembre 2024

Son statut de substance hallucinogène primant sur le reste, le cannabis se trouve inévitablement prisonnier de son statut de simple drogue aux effets néfastes. La réalité est que cette plante importée d’Asie cache bien plus de bienfaits pour la santé qu’il n’y parait.

L’huile essentielle de cannabis

Cette huile, bien que porteuse de plus d’une vertu médicinale reste très sévèrement prohibée dans plusieurs pays, dont la France, où rares sont les cas médicaux ayant obtenu une dérogation pour son utilisation en tant que remède. Le cannabidiol (CBD), non psychoactive, reste la variété la plus prisée notamment aux Etats-Unis d’Amérique où certains états autorisent tout à fait son usage à des fins curatives.

Sans compter sur son efficacité quand il est question de relaxation, de stimulation de l’appétit, de lutte contre l’insomnie, de soin de la peau, de neutralisation des maux de têtes et autres migraines, elle agit aussi comme anti-douleur permettant à beaucoup de patients de surmonter certains symptômes pénibles de leur maladie.

Son rapport au cancer

Le cannabis faisait, au départ et avant tout, office de calmant ayant comme rôle d’apaiser la douleur des personnes atteintes de cancer et d’alléger les effets secondaires de la chimiothérapie ce qui aidait à améliorer leur confort. Toutefois, avec le temps, on s’est aperçu que son effet pouvait également être thérapeutique.

Les chercheurs ont alors remarqué que les cannabinoïdes pouvaient de toute évidence agir sur beaucoup de cellules cancéreuses voire les neutraliser pour certaines, suivant le cas en question et les quantités administrées.

Plusieurs types de cancer font l’objet de cette conclusion : celui du cerveau, du sein, de l’estomac, du foie, de la peau ainsi que d’autres, dont celui du sang aussi connu sous le nom de « leucémie ».

Une survivante raconte son aventure

«6 à 18 mois à vivre seulement » telle a été la déclaration que le médecin a faite à Lynn Cameron, une écossaise de 48 ans vivant à Blantyre en Ecosse. Elle a été diagnostiquée comme étant atteinte d’une tumeur au cerveau, et pour ne rien arranger, elle a fini par apprendre que c’était tout à fait incurable étant donné que son cancer était en phase terminale.

Après plusieurs séances de chimiothérapie et de radiothérapie, Lynn a finalement a été convaincue par l’inutilité de ce processus et s’est lancée à la recherche d’une alternative médicale ou d’un régime alimentaire capable de la sortir victorieuse de cette lutte acharnée qu’elle menait contre le cancer.

Pendant sa recherche, elle a croisé plus d’une possibilité et suggestion contre le cancer, elle a dû essayer le régime alcalin visant à rééquilibrer le taux d’acidité dans l’organisme qui, déstabilisé, favorise le développement des cellules cancéreuses, elle a aussi totalement éliminé le sucre de son alimentation.

Une solution pour le moins insoupçonnée

« Un bon ami m’a conseillé de me tourner vers le cannabis comme remède, j’avais peur rien que d’y penser puisque c’était illégal, je ne pensais pas non plus que le fait que cela puisse guérir un cancer à un stade aussi avancé puisse être possible. » Explique Lynn.

Ne voyant aucun progrès, elle décide de franchir le pas et a commencé à s’administrer des doses d’huile de cannabis en en mettant sous la langue, afin qu’elle puisse pénétrer directement dans le sang. Tout ceci avait lieu à l’insu des médecins qui lui expliquaient que rien ne pouvait la guérir, quoiqu’elle mange ou prenne comme vitamines.

Au fil des scans, une amélioration constante était visible, mais Lynn était convaincue que ce n’était l’effet ni de la chimiothérapie ni de la radiothérapie mais bien celle de ce remède miracle qu’elle prenait dans le secret le plus total. Lors de la 6ème session d’IRM le verdict était sans appel, le cancer avait littéralement disparu.

Lynn a rajouté après son récit : « Le journal médical britannique n’a pas suffisamment fait de recherche au sujet du cannabis, et ironiquement, ils me donnaient de la morphine et de la codéine qui, elles, peuvent vraiment rendre malade et dont je n’avais jamais pris une seule pilule auparavant… Quoiqu’il en soit, le type de traitement que j’ai pris ne concerne que moi et je suis contente de l’avoir découvert ! »

L’histoire de Lynn Cameron, devrait être vue comme un exemple de courage et de ténacité, c’est au final son amour de la vie qui a pris le pas sur tout le reste, il lui a permis de surmonter tous les obstacles et lui a donné l’opportunité de connaître ce qui pourrait être assimilé à une renaissance.