« Les extraterrestres existent et nous ne sommes pas seuls dans l’univers », affirme un ancien chef des services secrets
La science ne permettant pas encore d’obtenir de réponse, l’Homme semble être véritablement incapable de déterminer avec certitude s’il existe une autre forme de vie dans l’univers. En effet, bien que ce sujet suscite un grand débat, tout ce que l’être humain peut en dire ne reste que spéculations sans preuves concrètes. Toutefois, certains pensent qu’il est improbable que nous soyons la seule forme de vie dans un univers aussi vaste et infini. John Sawers, l’ancien chef des services secrets britanniques de la reine Elisabeth II, soutient cette thèse et explique que d’autres formes de vie extraterrestres pourraient exister dans l’univers. Cette information nous est relayée par le média britannique The Sun.
L’existence ou non d’une ou plusieurs formes de vie extraterrestre dans l’univers a fait couler beaucoup d’encre depuis la nuit des temps. Alors que de nombreuses personnes affirment avoir aperçu des objets volants non identifiés ou découvert des signes étranges, comme des « crop circles », des symboles dessinés dans des champs de blé, d’autres crient à la supercherie et refusent de considérer la possibilité qu’il puisse exister une autre forme de vie ailleurs.
Un espion qui croit aux extraterrestres
L’ancien chef du MI6 pense que la planète Terre ne peut vraisemblablement pas être la seule à abriter une forme de vie. Pour lui, il est certain qu’une autre forme de vie extraterrestre existe quelque part dans l’univers. En effet, l’univers étant de taille « infinie », Sawers est convaincu qu’on ne peut en être ses seuls habitants. Il a d’ailleurs déclaré au Daily Star : « Je pense que ce serait extraordinaire si, dans un système solaire infini, la planète Terre était unique ».
Une théorie confirmée par le physicien suisse et prix Nobel de physique 2019 Didier Queloz. Business Insider a rapporté que lors de la cérémonie de remise des prix, l’homme a déclaré être « absolument convaincu » que l’espèce humaine pourrait découvrir une autre forme de vie dans l’univers dans les 100 prochaines années. Une réponse au physicien italien Enrico Fermi qui en 1950 déclarait qu’il était presque impossible que des extraterrestres plus intelligents que l’Homme n’aient jamais tenté d’envahir la terre au cours des 4,4 milliards d’années qu’il a fallu avant qu’une vie intelligente puisse y évoluer.
Qu’en pensent les français ?
Selon Libération, 48%, soit près de la moitié des français croient à l’existence des extraterrestres. Parmi les jeunes interrogés (18-24 ans), pas moins de 60% affirment croire qu’il existe une forme de vie extraterrestre dans l’univers.
La grande figure du cinéma français Alain Delon n’a pas manqué à rappeler l’étrange spectacle que de nombreux français ont observé la nuit du 5 novembre 1990. Il a notamment critiqué la déclaration officielle visant à expliquer ces observations hors du commun par la présence dans l’atmosphère d’une fusée russe. Il a déclare dans l’émission 7 sur 7 : « On a toujours l’impression qu’on veut cacher la vérité aux gens. Il parait qu’au Pentagone, on a récupéré des Alien, ça me fait rêver. Je ne crois pas en l’exposition d’un satellite russe. Je crois aux ovnis. Il faut croire qu’on n’est pas seuls ».
Le commentateur sportif de France Télévisions Nelson Monfort affirme, lui aussi, avoir été témoin d’une scène inexplicable dans les Alpes en 1983. Il a raconté que « C’était pendant une nuit étoilée. Nous avons vu un objet extrêmement brillant, rectangulaire et silencieux. On n’entendait pas de bruit de moteur. L’objet a obliqué à 45 degrés et s’est enfui à une vitesse vertigineuse dans le ciel ».
Une planète similaire à la Terre a été découverte
Une étude a révélé la découverte d’eau dans l’atmosphère de la planète K2-18b, qui est au moins deux fois plus grande que la terre. Cette planète est située dans la zone « M-dwarf », une « zone habitable » de son étoile. De surcroit, le poids moléculaire moyen dérivé découvert suggère une atmosphère contenant encore de l’hydrogène.
Toutefois, la planète K2-18b se situe à 111 années lumières et est donc beaucoup trop loin pour être étudiée de manière plus approfondie par l’Homme. De plus, comme le rapportent lesechos dans un article publié en septembre dernier, les conditions de vie sur cette planète où une année ne dure que 33 jours, sont plus hostiles que sur notre Terre, et semblent donc peu favorables à la présence d’une quelconque vie intelligente.