Je vais coucher avec 1 000 hommes avant d’épouser mon fidèle fiancé – mais lui n’a pas le droit de toucher une autre femme

Publié le 29 mars 2025
Je vais coucher avec 1 000 hommes avant d’épouser mon fidèle fiancé – mais lui n’a pas le droit de toucher une autre femme

Et si on vous disait qu’une jeune femme fiancée affirme vouloir coucher avec un millier d’hommes avant son mariage… et que son futur mari l’encourage ? Cela paraît difficile à croire, et pourtant, c’est bien ce que vit Annie, une jeune Australienne au parcours atypique. Une histoire d’amour hors des cadres habituels, entre liberté assumée, règles peu conventionnelles et ambition professionnelle inattendue. Mais jusqu'où peut-on aller au nom de l’amour et du travail ?

Une relation qui défie les normes classiques

Annie Knight, 28 ans, ne se cache pas : elle a choisi une voie que peu de gens comprennent. Créatrice de contenus, elle s’est récemment fiancée à James, son compagnon de longue date. Mais attention, leur engagement n’a rien de classique. Tandis que James lui reste fidèle, Annie, elle, poursuit son objectif assumé : coucher avec 1 000 hommes avant leur nuit de noces.

Cela choque ? Oui. Cela intrigue ? Encore plus.

Quand amour rime avec compréhension

Annie insiste : leur couple repose sur une transparence absolue. « Il me connaît par cœur. Il sait que je suis passionnée par mon métier et il respecte cela », confie-t-elle. En France, on pourrait comparer leur duo à un vieux couple de cinéma qui a traversé les tempêtes mais s’aime toujours profondément, chacun trouvant sa place dans cette relation étonnante.

James ne participe pas aux tournages, mais il accompagne souvent Annie dans ses déplacements. À Cancun, par exemple, pendant que sa fiancée enchaînait les séquences de tournage, il se reposait tranquillement à l’hôtel, avant de la retrouver le soir venu pour dîner et échanger avec elle, comme un manager bienveillant.

L’objectif d’un millier de rencontres

En 2024, Annie a eu des relations avec plus de 600 hommes. Et elle ne compte pas s’arrêter là. Son ambition : atteindre les 1 000 d’ici fin 2025. Pour elle, ce n’est ni un jeu, ni une provocation, mais un projet professionnel assumé. Elle parle de contenu, de performance, de chiffres et de stratégie, comme n’importe quel entrepreneur. À la différence que son domaine reste encore largement tabou.

Mais tout est encadré. Chaque participant est majeur, consentant, et signe une autorisation avant chaque tournage. Annie affirme que tout cela se fait dans le respect et avec sérieux.

Une vision moderne du couple ?

Bien entendu, ce mode de vie soulève de nombreuses questions. Comment gérer la jalousie ? Où commence la fidélité émotionnelle ? Annie répond sans détour : « C’est mon travail, ce n’est pas une trahison. Mon lien avec James est unique, intime, sentimental. Ce que je partage avec d’autres n’a rien à voir. »

D’ailleurs, leur couple ne s’arrête pas à ce projet. Ils prévoient de construire une maison ensemble sur la côte Est australienne, et parlent même de fonder une famille.

Le poids du regard des autres

En Australie, Annie est devenue célèbre en se présentant comme « la femme la plus sexuellement active du pays ». Une image qui divise. Certains l’admirent pour sa liberté, d’autres la critiquent. Mais elle reste déterminée« Ce qui compte, c’est qu’on s’aime et qu’on se soutient. Le reste, c’est du bruit », affirme-t-elle.

Et quand on voit les photos de leurs fiançailles, leur complicité saute aux yeux. Lui, fils d’un célèbre commentateur sportif, semble avoir trouvé un équilibre rare avec elle, malgré (ou grâce à) leur mode de vie singulier.

Ce que cette histoire nous apprend

Si l’histoire d’Annie paraît extrême, elle soulève une question universelle : faut-il entrer dans une case pour être heureux ? Pour certains, l’amour se vit dans l’exclusivité. Pour d’autres, il peut coexister avec d’autres formes de liberté.

Le parcours d’Annie et James interpelle, fait débat, mais il met aussi en lumière une vérité simple : dans un couple, ce qui compte, ce sont les règles que l’on choisit ensemble… et le respect qu’on leur porte.