Voici l’astuce qui donne de meilleurs orgasmes aux femmes
"Faites-lui connaitre le meilleur orgasme de sa vie." "Les secrets pour un orgasme explosif." "Comment avoir LE meilleur orgasme ?" La question nous obsède au point de ne jamais y trouver de réponses concluantes et les gros titres suffisent à eux seuls à faire la surenchère d’un orgasme, plus ardent, plus lent, répétitif. Peu importe qu’il […]
"Faites-lui connaitre le meilleur orgasme de sa vie." "Les secrets pour un orgasme explosif." "Comment avoir LE meilleur orgasme ?" La question nous obsède au point de ne jamais y trouver de réponses concluantes et les gros titres suffisent à eux seuls à faire la surenchère d’un orgasme, plus ardent, plus lent, répétitif. Peu importe qu’il soit vaginal, clitoridien, anal, cérébral… le plus important est de s’adapter aux désirs de madame.
L’orgasme est proclamé comme étant la sensation la plus orgiaque qui soit. Tout se passe comme si nos ébats devraient toujours se conclure par ce sésame du coït parfait, en harmonie et synchrone entre les partenaires. On passe plus de temps à chercher à le reconnaître qu’à l’apprécier. Les hommes sont plus focalisés sur l’accomplissement sexuel jusqu’à atteindre l’apogée du plaisir, alors que pour les femmes, le saint graal orgasmique est indissociable du climat sensuel et affectif. Si une femme n’atteint pas l’orgasme pendant le rapport, mais que la relation a été émotionnellement gratifiante, elle ne sentira pas que c’était une relation ratée. À contrario, pour les hommes l’éjaculation et l’orgasme de l’un ou de l’autre illustrent ou pas un rapport sexuel réussi.
L’orgasme, ce grand mystère !
Nous ne sommes pas égaux face à ce déluge cataclysmique. Mais il est possible de le reconnaître par l’irradiation d’un plaisir vertigineux qui chatouille les profondeurs du corps, lors d’un rapport avec pénétration ou simplement grâce à des caresses. Le cœur s’emballe, le sang ne fait qu’un tour, le vagin s’humecte, le clitoris enfle et durcit et c’est là qu’entrent en jeu les contractions musculaires, au niveau du vagin, lesquelles s’intensifient crescendo jusqu’à faire perdre le contrôle de son corps. Une décharge de plaisir irradie du bas du ventre jusqu’au corps entier et s’estompe cédant la place à un état second d’abandon et de plénitude. Et l’orgasme fut !
Dis-moi comment tu jouis je te dirais qui tu es
"Je n’éprouve du plaisir que par la stimulation du clitoris". Toutes les femmes ou presque disent jouir uniquement de cette manière, il n y a rien d’anormal à cela. En revanche, seule une poignée de femme arrive à atteindre l’orgasme vaginal. Ce dernier dépasse la capacité physiologique à l’atteindre et survient à un moment où la femme est plus en phase avec son corps, connait ses désirs et ses mécanismes sur le bout des doigts et s’abandonne plus aisément à ce point d’orgue de l’excitation. L’orgasme clitoridien est décrit comme concis, aigu et moins intense que le vaginal, lequel est considéré comme une déferlante de plaisir qui se répand le long du corps, à partir du point G, ce triangle des bermudes méconnue de tant de femmes.
L’orgasme ne se borne pas au petit portillon que l’on devine à l’entrée des lèvres, mais se prolonge par la stimulation de zones érogènes diverses, comme les fesses, les seins, le cou, le nombril, etc. Tout dépend de la connivence érotique de chacun. Plus rares, les orgasmes sans contact physique sont l’apanage des as de la concentration et du fantasme.
Pourquoi se priver du pack orgasme clitoridien + orgasme vaginal ? Certes, un orgasme par stimulation du clitoris à lui seul est une onde de plaisir, mais se tordre de volupté grâce à la double action du titillement de notre petit bouton d’amour ET d’une pénétration, c’est le feu d’artifice assuré.
Comme l’a corroboré l’étude menée par le Dr Nicole Prause sur un échantillon de 88 femmes. Les résultats ont démontré que malgré le fait que les femmes aient une meilleure réponse suite à la stimulation du clitoris, elles arrivent à atteindre des orgasmes plus intenses grâce à la double stimulation, vaginale et clitoridienne.
Il faut reconnaître que la délectation n’est pas localisable. Parfois même, elle s’insinue dans des voies qu’on nous a déconseillé d’emprunter. Il n’y pas lieu à se demander quel est le meilleur orgasme, sa quête obsessionnelle est le meilleur moyen de tuer le désir ou du moins de lâcher prise. Le but n’est pas de savoir par où on jouit mais simplement de jouir.
Au final, sachez que l’apogée du plaisir sexuel a bien de choses en commun avec les petits plaisirs de la vie, comme se taper un fou rire, engloutir un délicieux fondant au chocolat, se prélasser dans un bain moussant, se blottir contre son jules… tout est propice à la jouissance.