« Adieu petit ange » Cette belle-mère sans cœur bat à mort une fillette avec une ceinture cloutée en métal pour la punir

Publié le 4 novembre 2020
MAJ le 26 novembre 2024

Elle a fait preuve d’une cruauté innommable. Découvrez l’histoire de cette belle-mère sans cœur qui bat à mort une fillette parce qu’elle faisait pipi au lit. Les coups retrouvés sur son corps étaient abominables.

Après avoir frappé de nombreuses fois sa belle-fille avec une ceinture avec des clous en métal, les coups auront eu raison de la vie de la fillette de 6 ans. Relayée par nos confrères de la Fox 23, cette histoire montre à quel point la maltraitance infantile peut prendre des proportions tragiques.

La belle-mère avance un faux prétexte pour s’innocenter

Jessica Bundren, une femme de 40 ans est emprisonnée pour coups et blessures ayant menés à la mort d’un enfant. La criminelle a appelé la police le soir de son crime en leur disant qu’elle avait trouvé le corps de sa belle-fille de 6 ans inanimé.  La belle-mère sans cœur a prétexté qu’elle serait tombée dans l’escalier avant de s’endormir. Quelque temps après, la femme se serait rendue compte que la petite fille ne respirait plus. Une version qui sera vite démontée par les autorités après une enquête qui prouvera que la parente est loin d’être innocente.

Les blessures retrouvées sur la petite fille étaient accablantes

Après avoir enquêté, les preuves étaient tout le contraire de la version qu’a donnée la belle-mère sans cœur. Et pour cause, les enquêteurs ont découvert avec stupeur que sur le corps de la fillette, il y’avait de nombreux bleus, des marques de perforation sur les bras, le visage et la poitrine. Des coups ont même été portés sur la victime sur les fesses six fois avec une ceinture en métal. L’accusée aurait plaidé qu’elle punissait cette enfant de faire pipi au lit et elle a également admis qu’elle a poussé sa belle-fille au sol. Pire encore, elle a déclaré à la police que la dernière fois, elle avait vérifié que la victime respirait. Les coups portés à l’enfant ont été confirmé après la découverte de l’objet qui correspondait aux blessures qui lui étaient infligées. Désormais, la coupable est emprisonnée sous une caution de 150 000 dollars (128 993, 40 euros). Parfois, ce sont même les parents qui peuvent être responsables de la mort de leurs propres enfants. Cela a été le cas pour ce père et cette mère dont le fils a écrit une lettre bouleversante au médecin avant de mourir.

L’histoire de Gabriel. Un infanticide qui a ébranlé l’Espagne

Commis en 2018, ce drame relayé par nos confrères du Figaro a secoué les Espagnols. Gabriel, un enfant de huit ans avait disparu et avait ému le pays où des centaines de personnes se sont mobilisés lors des recherches. C’est seulement un an après que des enquêteurs arrêtent Ana Julia Quezada, la belle-mère du garçon, dont la police a découvert le cadavre de Gabriel dans la voiture. Après avoir été placée en garde à vue, l’accusée avoue « être l’auteure matérielle de la mort de la victime ».  La mort de cet enfant a ému et ses funérailles ont regroupé beaucoup de personnes solidaires envers cette famille dévastée. Ces derniers criaient : « Nous sommes tous Gabriel ! » Si pour cette victime le crime a été commis par sa belle-mère, il est possible qu’un parent biologique en soit le responsable. Cette mère a tué son bébé de 11 mois. Elle s’est défendue en disant qu’elle ne le supportait plus.

Gannon Stauch. Un drame en Floride

Relatée par les journalistes du site britannique Metro, cette histoire parle également d’infanticide perpétré par une belle-mère. Cette dernière a tué un garçon de 11 ans, qui, comme Gabriel, avait été porté disparu pendant près de deux mois. C’est la police qui a découvert le crime en entrant dans la chambre de cette parente qui était couverte de sang. « Les preuves récupérées dans la résidence et à l’intérieur de la chambre de sa belle-mère soutiennent un événement violent survenu dans la chambre » peut-on lire dans le rapport. Les autorités parlent également de traces de sang sur les murs mais aussi « une perte de sang suffisante « pour tacher son matelas, pénétrer à travers le tapis, le tapis de sol et tacher le béton sous son lit. » Des preuves qui ont pu établir le crime de cette femme à l’encontre de son beau-fils. Le corps de ce dernier n’a pas été retrouvé et Letecia Stauch, l’accusée a été emprisonnée pour meurtre d’un mineur de moins de 12 ans par une personne de confiance, maltraitance d’enfant entraînant la mort, altération d’un corps humain décédé et falsification de preuves physiques. Il arrive que des infanticides soient punis pour rendre justices à ses anges partis trop tôt.