8 choses à faire pour retarder l’éjaculation

Publié le 13 février 2019
MAJ le 26 novembre 2024

Même si l’éjaculation est considérée comme l’atteinte du plaisir pour l’homme, lorsqu’elle est précoce, elle peut engendrer une frustration chez les deux partenaires. L’absence de contrôle de cette dernière est la source du problème. C’est un handicap qui peut peser lourd sur la relation entrainant incompréhension et blocages et peut même mener vers une rupture dans certains cas, notamment lorsque le problème n’est pas traité.

Suite à une enquête, la question a été posée à un groupe d’hommes qui ont dû faire face à une éjaculation précoce. Et plusieurs d’entre eux ont proposé des techniques expérimentées et réussies, lorsqu’ils sont au summum de l’excitation sexuelle. Certaines relèvent de l’étrange, d’autres plus comiques, certes, mais elles ont été bénéfiques et ont donné de bons résultats.

  1. Le changement de position sexuelle

Il est nécessaire, lorsque l’excitation est à son plus haut point et que l’éjaculation est imminente, de changer de position afin de pouvoir continuer à profiter des plaisirs du rapport sexuel plus longtemps. Ceci permettra d’éviter les tensions musculaires qui engendrent les spasmes éjaculatoires.

  1. Prendre une petite pause

Pour ce faire, il suffit que le partenaire s’allonge sur le dos et que la partenaire se place au-dessus. Il est possible de s’embrasser de se caresser pendant une minute ou deux, le temps que le pénis se détente et de reprendre l’acte sexuel, par la suite. De ce fait,  l’orgasme pourra être plus intense.

  1. S’encourager à continuer

Certains hommes s’auto-encouragent pour continuer sans éjaculer, en se répétant à l’intérieur d’eux-mêmes que ce n’est pas le moment de jouir. Cette technique expérimentée par certains, peut, toutefois, ne pas réussir pour d’autres.

  1. Boire une gorgée d’eau

L’expérience de la gorgée d’eau peut donner des résultats pour certains. Un homme relate que lorsqu’il arrive au point culminant de l’excitation, il prend une gorgée d’eau pour refroidir et permettre ainsi à son pénis de faire une petite pause.

  1. Se concentrer plus sur la partenaire

Il est possible de s’arrêter un moment et de se concentrer plus sur la partenaire pendant quelques minutes en la caressant pour reprendre le rythme par la suite.

  1. Imaginer se faire mal

Aussi étrange que cela puisse paraitre, certains hommes s’imaginent dans une situation effrayante dans laquelle ils se font mal, soit par une blessure ou par un tout autre accident. Il est certain qu’avec des pensées aussi lugubres, l’orgasme ne se pointera pas de sitôt.

  1. Penser à une situation macabre

Même si ce n’est pas le moment de penser à une situation triste, mais le fait d’y songer permet de diminuer l’excitation, selon l’expérience de certains hommes. Cela peut paraitre étrange, avons-le ! Mais à condition que ces pensées ne puissent pas vous enlever définitivement, toute envie de faire l’amour.

  1. Penser à sa grand-mère

Penser à sa grand-mère pendant un acte sexuel n’est pas opportun, mais aussi risible que soit la situation, cela a pu marcher pour certains qui ont vu leur excitation diminuer pour un laps de temps.

Les types d’éjaculation précoce

Il existe l’éjaculation précoce de type primaire et secondaire.

– L’éjaculation précoce primaire est une dysfonction dont souffrent certains hommes depuis le début de leur vie sexuelle.

– L’éjaculation précoce secondaire, concerne des hommes qui ont vu à un moment donné de leur vie, perdre le contrôle de leur éjaculation.

Les facteurs de l’éjaculation précoce

Plusieurs facteurs entrent en jeu et causent une éjaculation rapide, en voici quelques-uns :

  • Le stress, notamment lorsque la relation sexuelle est naissante et que les deux partenaires sont en phase de connaissance ;
  • Le manque de confiance en soi dû à l’angoisse et à la peur de ne pas satisfaire sa partenaire ;
  • Le manque d’expérience sexuelle.

Il est cependant important de faire un diagnostic et déterminer la véritable cause de l’éjaculation rapide. Et mises à part les raisons psychologiques, il s’agit de se soumettre à un examen externe, une échographie des organes génitaux et un examen rectal afin de déterminer s’il y a une présence de maladies.