Astrologie : Chaque du zodiaque a un péché capital qui lui correspond

Publié le 7 août 2019
MAJ le 19 novembre 2024

Les sept péchés capitaux, également connus sous le nom des vices cardinaux, sont à l’origine au nombre de huit. Ils ont été identifiés pour la première fois circa l’an 300 par le moine Evagre le Pontique, un guide vers la liberté intérieure, qui les aurait associés à des fautes chrétiennes. Ils ont ensuite été réduits au nombre de 7 par le pape Grégoire le Grand pour finalement apparaître sous forme de septénaire dans l’ouvrage théologique de St Thomas d’Aquin au cours du XIIIème siècle. Celui-ci donnera alors lieu aux 7 péchés capitaux tels que nous les connaissons aujourd’hui.

Un peu comme les maux de Pandore qui se sont répandus sur Terre pour perturber le bonheur de l’Homme, les sept péchés capitaux sont venus transgresser son évolution spirituelle. Ces manquements affectent la chair et l’esprit et entravent notre capacité à agir de manière juste. Ils ne sont pas capitaux par leur essence mais plutôt par l’ampleur des conséquences qu’ils peuvent entraîner si nous finissons par y céder. L’humain étant naturellement et intrinsèquement fasciné par l’amour de l’interdit, certains finissent par être pris au piège de leurs désirs les plus profonds, et sont donc les plus susceptibles de fléchir face à cet appel.

Selon les astrologues, 7 signes du zodiaque correspondraient parfaitement aux sept péchés capitaux. Découvrez-les dans cet article.

La gourmandise – Taureau

Le Taureau est un gourmand invétéré qui lutte incessamment contre ses pulsions. Chocolat, gâteaux, sucreries, il ne sait plus où donner de la tête, même s’il fait de son mieux pour se retenir. En présence de ses desserts favoris, il suffira de l’observer pour réaliser qu’il est en réel conflit avec lui-même afin de se retenir et de ne pas laisser libre cours à sa gourmandise légendaire. En effet, ce péché représente une envie incontrôlable de prendre du plaisir sans même en ressentir le besoin.

La luxure – Scorpion

La luxure s’exprime à travers un désir désordonné de s’adonner à la jouissance et aux plaisirs de la chair. Très naturellement, les astres y associent le signe du Scorpion en raison de sa sensualité et sa fougue légendaires. Ce dernier ne cède pas forcément très vite, mais une fois qu’il décide de baisser la garde, son envie de volupté prend le pas sur tout le reste.

La paresse – Poissons

Assignée au Poissons, la paresse symbolise un manquement à nos obligations. Elle est d’ailleurs étroitement liée à la procrastination, une discipline à laquelle ce signe excelle. En effet, le Poissons remet toujours tout au lendemain, même si cela comporte un risque de faillir à ses tâches ou à ses devoirs. C’est souvent son manque de volonté qui le tire vers le bas, car autrement, ce signe pourrait briller de mille feux.

L’orgueil – Lion

Tout comme le conte de Narcisse où celui-ci fut pris au piège de sa beauté, le Lion avance dans la vie, pris au piège des vices dérivés de son orgueil. Vanité, présomption, supériorité, rien ne manque à l’appel pour alimenter son addiction à la prétention et à la vantardise. Il lui arrive de se retenir pour éviter de choquer ceux qui l’entourent, mais intérieurement, il est absolument convaincu d’être au-dessus des autres.

L’envie – Gémeaux

Animé par son ambition exacerbée, le Gémeaux ne peut s’empêcher d’envier le succès des autres. Il convoite leur réussite et ne parvient pas à retenir sa jalousie en leur présence. Il lui arrive de laisser glisser quelques piques mais de manière générale, il fait de son mieux pour dissimuler ce trait de sa personnalité.

L’avarice – Vierge

Le moins que l’on puisse dire, c’est que le natif de la Vierge a des oursins dans les poches. Ce signe a le plus grand mal à dépenser son argent, même lorsque ses dépenses sont liés à des besoins essentiels. Il s’attache à ses biens matériels comme à une planche de salut, au point d’agir parfois de manière compulsive.

La colère – Balance

Doux en apparence, le natif de la Balance n’est pas à l’abri de crises de colère redoutables. C’est notamment son désir d’équité qui le pousse à sortir de ses gonds, parfois allant même jusqu’à hausser dangereusement le ton et à offenser ses interlocuteurs.