Une mère sans cœur bat son bébé jusqu’au sang avant de se rendre tranquillement à son rendez-vous
Si le plus grand nombre de parents chérissent leur enfant de tout leur être, il en est tout autre pour certains géniteurs qui ne méritent pas cette appellation. C’est le cas pour cette mère ukrainienne indigne. Le pauvre petit Mykyta, un bébé d’à peine un an, a été roué de coups par sa mère, qui, sans culpabilité aucune, s’est rendue sereinement à un rendez-vous galant. Le pauvre nourrisson a été retrouvé couvert d’ecchymoses et de blessures. Cette histoire qui fend le cœur nous est relayée par nos confrères du Dailymail. Attention, le contenu de cet article peut heurter les âmes sensibles.
Si certains parents se battent pour avoir des enfants, d’autres ne réalisent pas la chance qu’ils ont d’avoir un petit être à chérir et à aimer pour le restant de ses jours. C’est le cas pour cette mère cruelle qui bat son bébé jusqu’au sang avant de se rendre à un rendez-vous galant sans une once de remords. Le petit Mykyta, un nourrisson d’un an, a été laissé dans un état critique et a inquiété les autorités. Selon les rapports, la jeune mère faisait preuve d’une négligence extrême à l’égard de son bébé, qui manquait des soins les plus élémentaires.
Maltraitance infantile
Un centre social de Rivne, une ville à l’Ouest de l’Ukraine, a été le théâtre de scènes inhumaines à l’encontre d’un bébé. Selon les témoins sur place, le pauvre nourrisson a été violemment battu jusqu’à l’évanouissement par sa mère de 19 ans, qui s’est tranquillement rendu à son rendez-vous galant après son forfait. Le petit Mykyta a été retrouvé couvert de bleus dans un état critique. La photo qui suit peut heurter les âmes sensibles.
Négligence extrême
Avant de battre son bébé jusqu’au sang, la mère s’était absentée toute la journée du centre social. Les pensionnaires, inquiets, ont décidé de s’enquérir de l’état du petit Mykyta. Les témoignages de ces derniers fendent le cœur. « Quand on est entrés dans la chambre, nous avons trouvé Mykyta dans son berceau. Son œil droit était noir. Son nez était congestionné par des saignements et il respirait à peine » s’est éploré Tetiana Prymak, une habitante du centre social où résidait la fille-mère. Avant d’ajouter : « Nous avons décidé de le changer et nous avons remarqué que tout son corps était couvert de bleus. Une femme avec nous s’est même évanouie en assistant à cette scène. » Après cela, les témoins ont décidé d’appeler une ambulance en urgence. Les équipes paramédicales ont conclu que le bébé présentait des fractures crâniennes et l’ont conduit immédiatement en soins intensifs.
Un pronostic vital engagé
Le responsable de l’unité de soins intensifs du Rivne Regional Children’s Hospital s’est vivement inquiété de l’état du petit Mykyta. « Le pronostic vital du bébé est engagé. Nous pensons que son crâne a subi de multiples fractures même si ne pouvons pas l’examiner pour l’instant. » Avant d’ajouter : « Je n’ai jamais vu un bébé dans un tel état de négligence. Je pense que sa mère n’a jamais changé ses vêtements ni utilisé de couches. Sa peau est dans un piteux état »
Interrogatoire
La mère est arrivée sur les lieux quelques heures après la police et a immédiatement été conduite au commissariat. Le porte-parole des autorités raconte : « La mère nous a confié qu’elle était stressée par les pleurs du bébé. Elle a laissé le bébé à la maison pour se rendre à un rendez-vous galant ».
Coups et blessures
La police a arrêté la jeune femmes pour coups et blessures et « manquement au devoir parental ». La psychologue en charge de l’affaire n’a pas pu retenir ses larmes face au sort du pauvre Mykyta. Yulia Tachenko, affiliée au centre social s’est indignée de la mauvaise foi de l’adolescente quant au sort de son bébé. « La mère a soutenu qu’elle n’avait pas touché Mykyta et que ses blessures étaient dues au courant d’air » a-t-elle déclaré entre deux larmes.
Maltraitance infantile : des conséquences désastreuses
La maltraitance infantile est un crime qui peut amener à des conséquences désastreuses dans la construction psychologique de l’enfant. Si elle peut être un facteur environnemental favorisant les états psychotiques, la violence domestique peut également être responsable de comportements violents de l’enfant victime d’abus, qui peut être plus enclin à la délinquance. Selon l’association l’Enfant Bleu, 2 Français sur 10 relatent des expériences de maltraitances.