Voici une des causes principales du cancer du poumon. Vous n’allez pas le croire !
Alors que jusqu’à présent toutes les études scientifiques qui cherchaient à établir un lien entre le cancer des poumons et l’air que nous respirons se sont intéressées à sa composition, une récente étude est venue apporter une nouvelle dimension à cette question : l’altitude ! En effet, ladite étude a démontré que les personnes vivant […]
Alors que jusqu’à présent toutes les études scientifiques qui cherchaient à établir un lien entre le cancer des poumons et l’air que nous respirons se sont intéressées à sa composition, une récente étude est venue apporter une nouvelle dimension à cette question : l’altitude !
En effet, ladite étude a démontré que les personnes vivant dans les villes et les villages situés à un niveau proche de celui de la mer auraient plus de risques de contracter un cancer des poumons que celles vivant en altitude.
La raison de ce phénomène ? Aussi incroyable que cela puisse paraître, la prévalence plus forte des habitants des plaines de voir leurs poumons touchés par un cancer est due à l’oxygène. L’air dans les plaines est effectivement plus épais que celui des hauteurs car plus chargé en oxygène, ce qui se révèle être dangereux pour le corps humain.
Il en est ainsi car l’oxygène est utilisé par l’organisme pour transformer les aliments en énergie et que lors de ce processus, appelé oxydation, de nombreux radicaux libres peuvent être produits. Or ces agents chimiques, qui ont la faculté d’entraîner des réactions en chaîne de destruction cellulaire, et même de modifier le code génétique des cellules en attaquant leur ADN, peuvent aller jusqu’à provoquer une mutation du programme génétique du corps humain. Ce faisant, les radicaux libres se trouvent à l’origine de l’apparition de cancers.
Donc, pour résumer, plus l’air est chargé en oxygène, plus il va libérer de radicaux libres durant son oxydation et risquer de développer un cancer des poumons, premier organe touché par l’oxydation. Inversement, une plus faible quantité d’oxygène signifie moins d’oxydation et moins de risques de cancer liés aux radicaux libres. Cela se vérifierait, selon une étude américaine, à partir de 1.000 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Il est donc temps de commencer à porter une extrême attention à l’air qui vous entoure. Et pour réduire les risques de cancer tout en prenant un grand bol d’air, plus d’hésitation : pour les prochaines vacances, cap vers les hauteurs pour respirer à pleins poumons !