Frappé, affamé et forcé à manger des excréments de chat, la torture de ce petit garçon dans une nouvelle série Netflix
Il n’est pas rare que Netflix, la célébrissime plateforme de diffusion, raconte des histoires qui glacent le sang marquant l’actualité. A l’image de l’abominable affaire Joseph Fritzl, ce récit terrible en est l’exemple fait chair. Cette fois, c’est l’histoire innommable de Garcia Fernandez, un petit garçon qui a subi les pires sévices. Ses bourreaux ? Ses parents sans cœur qui l’ont frappé, affamé et même humilié en l’obligeant à manger des excréments de chat. Diffusé sur Netflix, ce témoignage relayé par nos confrères du site The Sun raconte l’indicible.
Certaines affaires nous font douter de l’humanité de l’Homme tellement ils font part de ses travers les plus sombres. C’est le cas pour cette histoire sordide diffusée sur Netflix qui raconte le quotidien d’un petit garçon maltraité de la façon la plus odieuse qui soit. Et ses traitements monstrueux ne s’arrêtent pas là puisque ses propres parents lui ont fait subir des maltraitances qui s’apparentent à celles des pires sadiques. Ce récit nous rappelle à quel point certains criminels peuvent faire souffrir des âmes innocentes en silence.
Un crime homophobe
Si les parents du petit Garcia Fernandez ont commis le pire, c’est parce qu’ils étaient pétris de haine homophobe. Cet enfant de 8 ans a été frappé quotidiennement par sa mère diabolique et son petit ami avant de céder à ses blessures et de s’éteindre en 2013.
Sans défenses, il a été conduit en urgence à l’hôpital avec des marques d’une sévérité inquiétante. Et pour cause, le petit garçon a été laissé avec un crâne fracturé, des bleus importants et des brûlures sur tout le corps. Il est mort deux jours plus tard après avoir plongé dans une mort cérébrale. Un décès soudain qui a révélé les sévices innommables perpétrés par ses parents.
Un quotidien atroce
Les ambulanciers ont découvert le calvaire de la victime après l’appel de sa propre mère, qui a prétexté qu’il s’était cogné la tête contre la baignoire lors d’une chute. Seulement, la vérité se cachait ailleurs puisque les experts ont découvert que le petit garçon se faisait régulièrement frapper devant ses frères.
Ses parents cruels ont ignoré tous les rappels à l’ordre des autorités qui les accusaient de maltraitances. Pour la première fois, les travailleurs sociaux ont été poursuivis par la justice pour négligence et non-assistance à personne en danger.
Une diffusion sur Netflix
Le quotidien de cet enfant maltraité est d’une monstruosité telle qu’il a été diffusé par Netflix, qui aborde régulièrement des faits divers qui défraient la chronique. Cette histoire est alors raconté dans la série Les Procès de Gabriel Fernandez et a laissé les spectateurs hantés et incapables d’assister au cauchemar que vivait l’enfant au quotidien.
Une infirmière traumatisée
Et le cas du petit Garcia n’a pas seulement choqué les spectateurs de la série célèbre puisque l’infirmière qui a témoigné de son sort a été véritablement ébranlée en tentant de le sauver. « Il avait un crâne fracturé, cela veut dire que vous pouviez le sentir au toucher » s’émeut-elle. Puis d’ajouter : « Je me souviens de sa gorge et on dirait que quelqu’un l’avait brûlé. Il y avait des bleus, des coupures et des brûlures sur tout le visage. Il avait une blessure étrange sur le pénis et sur les pieds ».
Un cas mémorable
De son souvenir, l’infirmière garde une mémoire intacte. Elle a d’ailleurs été traumatisée par cette histoire de maltraitances inouïe. Entre deux sanglots, elle a témoigné : « Il n’est pas possible de ne pas le remarquer tellement c’était flagrant, il y’a tellement de séquelles et de nombreux doutes qui en découlent ». Des marques qui ont levé le voile sur le traitement terrible que subissait l’enfant.
La maltraitance : un cercle vicieux
D’après les révélations de Netflix, la mère de Garcia a elle-même subi des maltraitances. Dans ce cas de figure, il n’est pas rare que ces parents puissent reproduire ce schéma volontairement ou non. Comme l’explique l’OMS, la maltraitance d’un enfant peut mener, à l’âge adulte, au développement d’une propension à agir de manière brutale.
Ce phénomène conduit à un cercle vicieux ou les victimes perpétuent ces violences et peuvent prendre un bouc-émissaire parmi leurs enfants. Délinquance, consommation de substances toxiques, dépression sont autant de conséquence d’un quotidien infernal au sein du foyer.